Occurences de l'expression
tu
pour AUDE, Joseph
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
L'ÉCOLE TRAGIQUE (1802)
- Tu sais qu'il a fait quelques drames. v.18 (Acte 1, scène 1, LINVAL)
- Tu vois, dit-il, l'époux d'une femme coupable ; v.31 (Acte 1, scène 1, LINVAL)
- Puisqu'aux méchants écrits, tu voudrais mettre un terme ; v.57 (Acte 1, scène 1, HOMURIN)
- Tu ne me feras point aimer l'excès contraire, v.63 (Acte 1, scène 1, HOMURIN)
- Ma lecture est finie. v.67 (Acte 1, scène 1, DEUXIÈME HABITUÉ)
- Sois piqué si tu veux, je n'en démordrai pas. v.80 (Acte 1, scène 1, HOMURIN)
- Hem, tu l'entends. v.91 (Acte 1, scène 2, HOMURIN)
- Il peut se mettre en troupe dans six mois ; on a déjà voulu l'enrôler de société, dans la rue des Boucheries, pour jouer le grand turc à Chartres, en Beauce, dans les pièces de comédie, pour les rôles de tyran. (Acte 1, scène 1, LA MÈRE CLOUTIER)
- Il n'est pas dans la salle d'étude, on vous l'a dit, on l'avertira s'il vien z'à la répétition. (Acte 1, scène 1, LA MÈRE CLOUTIER)
- Ton homme est donc bien à court ? ta fortune devait être faite avec lui. (Acte 1, scène 3, LA MÈRE CLOUTIER)
- Jolie fortune ! (Acte 1, scène 3, MANON)
- Tu l'as voulu, ce gain de la loterie m'a fait succomber au goût de ton inclination. (Acte 1, scène 3, LA MÈRE CLOUTIER)
- Allons vela que ça commence ; j'ai tout prophétisé pour ton bien, ma pauvre Manon ; prends ton mari du bon côté et tâche de vivre en travaillant ; car, comme dit le proverbe, vois-tu, quand il n'y a pas de foin au ratelier... (Acte 1, scène 3, LA MÈRE CLOUTIER)
- Garde-là tant que tu voudras ; ce sont tes affaires : mais qu'es donc que je fais ici ? (Acte 1, scène 4, LA MÈRE CLOUTIER)
- Ma mère, renvoyez-moi mon homme, s'il a fini ses barbes ; tous les écoliers sont venus, ils étudient dans la cuisine, on n'attend put que Grignardet. (Acte 1, scène 4, MANON)
- Il vous a battu rappor z'à moi ! (Acte 1, scène 5, BLANCHET FILS)
- Rassurez-vous, objet respectueux, je ne veux plus jamais mourir à cause de vous ; j'ai un petit brin d'espérance, oui j'attends. (Acte 1, scène 5, BLANCHET FILS)
- Ne prends donc point du tabac dans une trageudie ; le fais-tu exprès ! (Acte 1, scène 6, CADET)
- Si tu venais à éternuer, ton interlocuteur serait obligé de te dire, dieu vous bénisse. (Acte 1, scène 6, CADET)
- Ça, veux-tu jouer la trageudie, oui ou non ! (Acte 1, scène 6, CADET)
- C'est que si tu veux jouer des farces, y faut pas venir dans mon école. (Acte 1, scène 6, CADET)
- Vois-tu le sourire qui vient se fondre sur mon visage ! v.185 (Acte 1, scène 6, CADET)
- Rival audacieux, parle, ne sais-tu pas ? v.186 (Acte 1, scène 6, CADET)
- J'ai pu sacrifier, ma fortune, mon être, v.188 (Acte 1, scène 6, CADET)
- C'est assez, tu m'entends ; et vous, madame, et vous v.190 (Acte 1, scène 6, CADET)
- C'est le naturel de ma passion. (Acte 1, scène 6, BLANCHET FILS)
- Es-tu content ? (Acte 1, scène 6, BLANCHET FILS)
- Veux-tu v.201 (Acte 1, scène 6, CADET)
- C'est quand tu me verras assuré de l'affront... v.204 (Acte 1, scène 6, CADET)
- Laissez donc les gess'de côté, j'aime mieux qu'ils n'en fassent pas, que de s'accoutumer aux mauvais ; j'ai inventé une mécanique que vous allez voir tout-à-l'heure, pour les dresser sur cet artique. (Acte 1, scène 7, CADET)
- T'y prends de belles leçons, scélérat, tu traitais joliment ton père. (Acte 1, scène 8, BLANCHET PÈRE)
- Est-ce que vous croyez que c'est pour le plaisir que je me suis marié, c'est pour le solide ; pour ne pas laisser finir la perpétuité de ma famille, pour me voir renaître en moi-même et avoir des prédécesseurs. (Acte 1, scène 11, CADET)
- Les costumes, le manteau de vert cramoisi à longues manches. (Acte 1, scène 11, CADET)
- Toi, viens avec l'auteur, pour t'emparer des costumes. (Acte 1, scène 12, CADET)
- Allez étudier avec les autres. (Acte 1, scène 13, LA MÈRE ROUSSEL)
- Vous faites devant vous reculer la nature. v.211 (Acte 1, scène 13, GRIGNARDET)
- Et rien que trois mois de leçons : hardie comme un page, une mémoire de possédé, un gosier superbe dans les exclamations ; d'une couleur manifique sur scène, quand elle a du rouge avec ce turban espagnol, ous-qu'il y a des paillettes d'argent, avec de belles plumes d'oiseau. (Acte 1, scène 14, MADAME GRUGEOT)
- Ce n'est pas pour dire, mais c'est un phénix pour le prématuré de son âge, elle n'a que trente-deux ans. (Acte 1, scène 14, MADAME GRUGEOT)
- Finissons ces raisons ; allons, mamzelle, allez mettre votre doliman ; tout le monde est déjà sur le costume. (Acte 1, scène 16, CADET)
- Viens-nous-en ; je vais te costumer en deux minutes. (Acte 1, scène 16, MADAME GRUGEOT)
- Tu croirais les propos de menterie qu'on tient ! (Acte 1, scène 18, BLANCHET FILS)
- Tu sais que cette maison de la Post'traperse de l'autre côté ; crac, me v'là dans la rue du Bouloy, je li plante à l'aut'porte ; je cours ici, et me v'là. (Acte 1, scène 18, BLANCHET FILS)
- J'ai trouvé le moment de vous écrire dans mon désespoir, la façon de penser d'un coeur sensible qui ne vous manquera jamais ; prenez-en lecture, c'est pour not'bonheur, à tous deux ; la voilà. (Acte 1, scène 20, BLANCHET FILS)
- Comme elle fait la soeur du grand turc, j'y ai mis le doliman du côté gauche, c'est le véritable costume espagnol. (Acte 1, scène 23, MADAME GRUGEOT)
- Sans doute, j'enseigne par principe ou pas du tout ; quand je vous lairrai prendre de mauvaises habitudes et que vous n'aurez pas de direction dans les membres, ques qu'on dira de moi z'est de vous : il y a quatre sort de gess', les moyens, les forts, les terribles et les sensuels ; quand vous les aurez dans la mémoire, par le moyen que je vous y accoutume, je vous laisserai les bras libres dans le mouvement des passions. (Acte 1, scène 23, CADET)
- Silence, placons-nous ; levez le rideau, un coup d'archet pour l'ouverture. (Acte 1, scène 24, CADET)
- La scène se passe à Alger, dans les prisons de Tunis. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Un homme à longue barbe, un turc, un arménien, v.222 (Acte 1, scène 24, CADET)
- Venez, poursuit le turc, au sein de la fortune, v.228 (Acte 1, scène 24, CADET)
- Marianne obéit, elle monte en voiture, v.232 (Acte 1, scène 24, CADET)
- Je la suis ! ô douleur ! ô forfait ! ô nature ! v.233 (Acte 1, scène 24, CADET)
- Et nous voilà tous deux battus par l'ouragan ; v.238 (Acte 1, scène 24, CADET)
- Retiens ces attitudes, si tu peux. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Le bras droit, Grignardet ; si ton confident avait été plus grand, tu lui aurais donné une gifle. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Fanfan, tu vas la voir ; la voici qui s'avance. v.249 (Acte 1, scène 24, JOBAR)
- Se peut-il ? Que d'amour, d'infortune, de transe ! v.253 (Acte 1, scène 24, GRIGNARDET)
- Tu seras drès ce soir ma femme ou ma victime. v.260 (Acte 1, scène 24, BLANCHET FILS)
- Grignardet, ne regarde pas de ce côté ici, elle est sortie, tu es censé ne pas la voir ; c'est une double scène qui sera d'un grand effet. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Oses-tu déchirer le coeur d'une colombe ! v.264 (Acte 1, scène 24, MADAME GRUGEOT)
- Tu verras de quel bois je chauffe qui me brave. v.269 (Acte 1, scène 24, CADET)
- Approche donc, tu as l'air d'une éclipse. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Tu me l'as donné trop tôt. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Que j'y casse un membre, mame Cloutier ; que je le tue : vous voyez un homme aux abois. (Acte 1, scène 24, CADET)
- Tu vois donc, mon ami, l'innocence de mon enfant. (Acte 1, scène 24, LA MÈRE CLOUTIER)
- Peux-tu z'en douter. (Acte 1, scène 25, MANON)
- Misérable, tu vas tout me payer aujourd'hui. (Acte 1, scène 26, BLANCHET PÈRE)
- Je t'ai soupçonnée comme dans la pièce de Zaïre, mais je ne t'ai pas immolée ; me pardonnes-tu ? (Acte 1, scène 27, CADET)
- Dans la triste caricature v.285 (Acte 1, scène 1, BEUGLAN)
- Je sens que je suis la peinture v.287 (Acte 1, scène 1, BEUGLAN)
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Dans les 1895 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 69 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 69,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Total |
1 | L'?COLE TRAGIQUE | 43 | 43 |
2 | L'ÉCOLE TRAGIQUE | 26 | 26 |
Total | 69 | 69 |